Texte de vacances, faute de cahier : la vague
Etre dans la vague, en été, quoi de plus normal. Après la pluie, ça rafraîchit, ça change d’humidité. Y être en politique, ça arrive souvent aussi.
Etre dans la vague, en été, quoi de plus normal. Après la pluie, ça rafraîchit, ça change d’humidité. Y être en politique, ça arrive souvent aussi.
Le personnage de Brecht, issu de « la bête », semble se cloner depuis plusieurs décennies. Bolsonaro, Orban, Salvini, Trump, Duterte, Erdoğan, la liste serait plus longue encore.
Le fascisme n’est pas seulement une violence nationaliste et un système politique qui l’orchestrerait, mais bien une idéologie à part entière, qui, quelque part, se théorise toujours en réponse à des crises
Ex-Yougoslavie, quand « la bête » bégayait en Europe…
Quoi de mieux pour tenter de résumer le précédent article sur la bête immonde, que ces phrases trouvées sur Wikipédia ? Enfin, pas tout à fait…
“Le ventre est encore fécond d’où a surgi la bête immonde“, écrivait Brecht. Cette phrase termine une pièce “La résistible ascension d’Arturo Ui“, qui ne fut jamais publiée ni jouée de son vivant, bien qu’il ait tenté de le faire durant son exil aux Etats-Unis, de 1941 à 1947.
Et c’est ainsi qu’on devient une « terroriste à enfermer ». Un juge, s’érigeant de lui-même en critique d’art, décida donc, en 2016, de ce que seraient près de trois années de la vie de Zehra Doğan : une incarcération… pour un dessin. Au suivant ! Cette « injustice », sous les apparences d’une censure, fut en réalité le Lire la suite…
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