Ils viennent manger le gâteau du français
En ce jour d’anniversaire, le mien, la France me fait un cadeau bien pourri, celui, bien rassis, du « ça vient manger notre pain ». Ma génération, qui avait déjà l’âge de compréhension, quand on torturait en Algérie, qui entendait les paroles de déportés se libérer enfin peu à peu, sans pouvoir en appréhender pour autant toute Lire la suite…